Surnaturelle, la voix dédoublée du chanteur diphonique de Mongolie Dalaijargal s’élève et s’entrelace, avec celle, presque humaine, de sa vièle à tête de cheval.
Ensorceleuse, Jiang Nan fait rugir les sonorités fauves de la cithare guzheng et chante un blues du Fleuve bleu.